La taxe sur les produits sucrés, qui concerne les boissons sucrées, crèmes glacées, confiseries, chocolats, ainsi que certaines sauces, pâtisseries et produits de boulangerie, est entrée en vigueur le 1er septembre après un mois de phase de préparation.
Bien que cette taxe vise à améliorer la santé publique en encourageant la réduction du sucre et en finançant des programmes de prévention de l’obésité et du diabète, son introduction en pleine crise économique, qui touche la Nouvelle-Calédonie depuis mai, suscite des interrogations.
Les importateurs et les producteurs touchés Cette mesure, applicable à la fois aux importateurs lors de l’entrée des produits sur le territoire et aux producteurs locaux lors de la première livraison après transformation, pourrait entraîner une hausse des prix de 5 à 20%.
Améliorer la santé publique Si l’objectif principal de cette taxe est d’améliorer la santé publique en incitant les industriels à réduire le taux de sucre dans leurs produits, elle vise également à générer des revenus pour le territoire. Les fonds collectés seront destinés à financer des programmes de prévention de l’obésité et du diabète. Comparée par les professionnels de la santé aux taxes sur le tabac et l’alcool en raison de son effet dissuasif.
Si l’augmentation des prix est encore à l’étude pour certains professionnels pour la société Le Froid, obligée d’importer depuis la destruction totale de son outil de travail, en mai dernier, l’augmentation des prix est inévitable
La taxe sur les produits sucrés, touchant les boissons sucrées, les crèmes glacées, les confiseries, les chocolats, ainsi que certaines sauces, pâtisseries et produits de boulangerie est entrée en vigueur le 1er septembre, après une marche à blanc d’un mois.
Double peine ! Cette taxe s’applique aux importateurs lors de l’entrée des produits sur le territoire et aux producteurs locaux lors de la première livraison après transformation.
Toutefois, l’introduction de cette taxe pourrait entraîner une augmentation des prix de 5 à 20%.
Si cette mesure vise à générer des revenus pour la Nouvelle-Calédonie, son objectif principal est d’améliorer la santé publique en encourageant les industriels à réduire le taux de sucre dans leurs produits.
Les fonds récoltés grâce à la taxe sur les produits sucrés seront utilisés pour financer des programmes de prévention de l’obésité et du diabète. Les professionnels de la santé comparent cette taxe à celles sur le tabac et l’alcool, soulignant son rôle dissuasif.
Pensez-vous que cette stratégie sera efficace pour atteindre ses objectifs de santé publique ?
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Source Rédaction radiococotier.nc