Alors qu’une pétition demandant sa démission circule, en raison de ses absences répétées, de ses déclarations en Azerbaïdjan, de ses déplacements en Corse, et tout récemment en Bretagne, le gouvernement annonce que Mickaël Forrest, responsable entre autres nombreuses missions, de la promotion internationale du tourisme, s’est rendu à Paris en juillet pour travailler sur la relance du secteur, un enjeu crucial en ce moment.
Il a rencontré de nombreux acteurs clés, dont Hervé Mariton, président de la FEDOM, avec qui il a discuté de la mise en place d’un dispositif de soutien pour le tourisme, durement touché depuis mai. Avec Marie-Cécile Tardieu de Business France, il a exploré des stratégies pour renforcer l’attractivité économique de la Nouvelle-Calédonie.
Des discussions ont également eu lieu avec Rose-Marie Abel, directrice générale par intérim d’Atout France, pour identifier de nouvelles opportunités de partenariat, notamment en vue du renouvellement d’un contrat-cadre. Il a de plus, échangé avec les dirigeants de Qantas et Singapore Airlines pour développer des collaborations visant à promouvoir le territoire auprès du trafic aérien régional, tout en faisant le point sur les conventions en cours avec NCT.
Les exemples de Fidji, le Kenia, le Maroc, le Vanuatu Ces rencontres ont également permis d’analyser les réponses et opportunités de relance suite à des crises similaires dans d’autres destinations, comme Fidji, le Kenya et le Maroc.
Enfin, Mickaël Forrest a profité de son séjour pour rencontrer Georges S.M. Maniuri, ambassadeur du Vanuatu, afin de discuter de la 5G et de préparer la réunion des ministres des sports du Pacifique, en marge des Jeux olympiques de Paris.
Aurait-il eu besoin d’un mot d’excuse pour pouvoir rentrer ?
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Source Rédaction radiococotier.nc