Les Brave Blossoms, sous la houlette d’Eddie Jones, ont inscrit quatre essais en première mi-temps suivis de trois autres dans le dernier acte, offrant à l’emblématique entraîneur australien sa troisième victoire consécutive après un début délicat de son second mandat de sélectionneur de l’escouade nippone.
« C’était un bon pas en avant pour l’équipe », a salué Jones, dont la formation a tour à tour battu le Canada et les États-Unis pour terminer en tête de son groupe.
« Les Samoa constituent évidemment une opposition bien plus forte que les États-Unis ou le Canada. Je pense que nous avons réalisé une très bonne entame de match, avec beaucoup d’intentions, malgré un fort vent de face », a analysé l’ex-sélectionneur de l’Angleterre (2015-2022).
Dans l’autre demi-finale, les Fidji n’ont fait, samedi, qu’une bouchée des États-Unis, écrasés 22 à 3.
Rendez-vous le week-end prochain à Osaka
Contre les Fidjiens, champions en titre, Jones espère poursuivre sur sa lancée lors de la finale prévue le week-end prochain à Osaka et ainsi offrir un nouveau titre au Japon après son sacre en 2019, le premier dans la configuration Six nations.
La Coupe des nations du Pacifique est une nouvelle compétition créée par World Rugby qui regroupait lors de cette édition les Fidji, les Samoa et les Tonga dans la poule A, et le Canada, les États-Unis et le Japon dans la poule B.
Les Nouvelles Calédoniennes
Source www.lnc.nc